Né en 1999, Hugo Lanier vit et travaille à Paris. 

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Sa pratique, essentiellement portée sur l’argentique et les procédés alternatifs, est marquée par un usage du médium photographique comme matière première, dont il transgresse les usages et redéfinit les frontières : il le brûle, le coud, le déchire, le peint, le découpe, l’altère et l’augmente d’autres éléments. Il en devient une composante de son œuvre, mais rarement sa finalité.

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Influencé, entre autres, par les travaux de Leibniz et de Bergson, il explore dans une approche plasticienne les qualités substantielles de la photographie, et les mécanismes de la mémoire. Ses oeuvres interrogent les notions d’identité, d’altérité, et d’interdépendance des phénomènes, à l’échelle de l’infiniment grand et de l’infiniment petit. Le rapport à l’Autre, en tant que ce qui est hors de soi, est au coeur de son travail.

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Diplômé d'une Licence de Photographie de l'École de Condé, il poursuit aujourd'hui un Master d'Esthétique et de Philosophie de l'art.